Salon de judith

Judith alla chercher un thé, puis s'assit sur le canapé à côté de Charly.

Vous avez été pirate ? C'est drôle, mon arrière arrière grand-père était corsaire au service de l'empire français. On a encore une gravure le représentant d'ailleurs, je l'ai dans mes cartons.

Judith alla farfouiller dans ses cartons et en sortit la gravure. Elle alla se rassoir, se rapprocha de Charly et lui montra le petit encadré.

La gravure est frappée aux armoiries de la famille. Un S pour l'initiale de notre nom entrcroisé d'un serpent de mer qui défend la famille de ses ennemis et nous protège. Mon grand-père disait que c'était un génie bienfaisant qui veille encore sur nous. Mon père lui prétendait que le serpent représentait le Kraken, cette monstrueuse créature légendaire... Désolée, je vous embête avec mes souvenirs. Je dois vous parraitre pénible... Navrée...

"hoo non au contraire"

ses yeux s'etaient illuminés

"c'est une vrai reluire. Incroyable"

Il retournait et admirait la gravure comme un viel antiquaire

put... elle est descendante de corsaires. Comment je vais lui raconter mes histoires à dormir debout

" Le kraken vous dites."

Il pris l'air de reflechir, puis pris un air tres assuré

"Vous savez mademoiselle, j'ai barouder les mers. J'ai vu de mes yeux des vraies legendes. Le Kaken est un mythe au symbole fort, mais, je crois qu'il est du domaine de l'imaginaire. En revanche, certains mythe sont bels et bien une realité. Mais je ne veut pas vous ennuyez avec mes histoires".

"Merci pour le thé."

Judith posa sa main sur le bras de Charly pour le retenir. Elle rougit de son geste et baissa la tête.

Non, restez. Je.. J'aimerais entendre une de vos histoires. Racontez moi une de ces légendes que vous prétendez avoir vu de vos yeux, ça m'intéresse.

La main de Judith était resté sur le bras de Charly.

Charly etait résté sans voie.

"heuuu. oui."

il se rassit.

"je vous reprend un thé?"

Mais qu'est ce que je vais pouvoir lui raconter?"

"Conaissez vous l'histoire de taiwan? C'est un probleme apparement politique, mais qui recele bien d'autre mystere"

Judith qui était troublée, retira sa main du bras de Charly. Elle croisa les jambes et l'écouta avec attention.

Non, politiquement j'ai mes opinions, qui déplaisent beaucoup d'ailleurs à mes collègues mais les mystères de Taïwan me sont inconnus. Et vous pouvez m'appellez Judith et me tutoyez, on doit avoir à peu près le même âge.

Judith fixa Charly. Son regard se posa un instant sur les lèvres du jeune homme. Elle déglutit et détourna le regard.

HJ : JE VAIS MANGER JE RE DANS UN QUART DHEURE BISOU ATTENDS MOI !! ^^

Charly etait tres troublé.

Il resta trentes bonnes secondes à sourire betêment.

"Et , heu. Alors Judith. je vais te conter une histoire.
Taiwan, ou, l'ile de Formose, est une ile entre la Chine et le Japon. Au moment de la prise de pouvoir de Mao en Chine, les democrates liberaux se sont refugiés a Formose. depuis , chacun des deux pouvoirs se revendiquent la Chine. Mais , ce que d'aucun ne savent pas, c'est que des pirates ont participés à la bataille entre les communistes et les democrates. L'ile de formose est un repere de pirates. Une legende raconte qu'un pirate autrefois y à deposer un tresor. Et c'est ce tresor qui interesse le pouvoir chinois.Moi même j'ai recherché ce tresor.
ce pirate avait le nom de Sparrow."

hj : mdr!!!!! tien tien, ce serais pas mon jack préféré le pirate ? ^^

Judith était captivé par l'histoire de Charly. Son regard était plongé dans celui du jeune homme et elle rapprocha tout doucement son visage de lui. Elle s'arrêta, elle était très proche de Charly et murmura, stupéfaite :

Sparrow ? Vous voulez dire le capitaine Jack Sparrow ? Mon arrière grand-père ? Ce.. ce serait lui qui...

Elle resta à quelques centimètres de Charly, de plus en plus génée et troublée.

Charly resta médusé.


Pas un son ne vola dans la piece. Rien d'autre qu'une atmosphere pesante.
La tasse de thé vola en éclat sur le parquet.

"Ho, je suis desole pour votre tasse. Vous etes une descendante des Sparrows?"

C'est une sparrow mon dieu

IL ne pensa même pas à l'embrasser.

Judith regarda la tasse à terre, puis Charly. Elle éclata de rire.

Oui, il faut croire que c'est bien de mon arrière grand-père dont vous parlez !

Charly la troublait mais elle approcha son visage plus près et chuchota :

Je croyais t'avoir dis de me tutoyer ?

Charly pris son courage a deux mains pour embrasser la pirate.

Judith écarquilla les yeux de surprise. Puis, elle les ferma et posa ses mains sur la nuque de Charly. Elle lui murmura entre deux baisers :

Tu as une drôle de façon de tutoyer les gens, toi...

"hum et bien, vous avez une drole de facon de depanner des ouvres boites."

Judith eut un sourire malicieux.

Tu es tétu... Toujours décidé à me vouvoyer ? C'est pas parceque je suis la descendante d'un pirate qu'il faut me traiter comme une dame de la haute société !

Ceci dit, elle reposa ses lèvres sur celles de Charly et lui mordilla la langue.

"vous etes belle"

Judith sourit.

Combien de fois je vais devoir te le répéter ? Fais attention, je m'emporte très vite...

"mais tres chere, le vouvoiement est plein de sensualité"

Le sourire de Judith s'élargit.

Je crois que vous avez raison.

Elle lui prit la bouche sauvagemment puis lui murmura à l'oreille :

Pirate..

hj : jai quand même réussi à la caser ma réplique de pirates des caraibes mdr !!! Oh, chuis tro fière de moi

Charly bondit sur judith.

il se reveillerent le samedi matin. Embrumés et sourire. Un peu fatigué.

Judith s'étira. Son dos craqua.

Ouïe. J'aurais préféré dormir dans mon lit tout de même... Bien dormi, mon coeur ?

Elle se peletonna contre Charly et nicha son visage dans son cou.

"mMMMM"

quand meme, je me suis tapé une de ses nanas

"bonjour toi"

dit Charly encore tout endormi

Judith l'embrassa doucement dans le cou.

Bonjour, joli coeur. Et merci pour cette nuit divine. Je t'aime, Charly

Elle lui mordilla les lèvres tendrement.

Judith tourna la tête et son regard tomba sur son réveil.

Me*** !!!! Je suis en retard !!! Il est 7h et demi !!!

Judith vira les couvertures, sauta du lit et courut dans la salle de bains. Cinq minutes plus tard, elle revint dans la chambre, enfila à toute allure son jean et son haut. Elle sauta sur le lit, déposa un baiser sur les lèvres de Charly puis se releva, prit sa sacoche et en partant en courant, elle lui cria :

Les clefs sont sur ma porte ! Prends les et ferme derrière toi ! Je passerais ce soir les prendre chez toi ! Je t'aime !

charly deboussolé pris et les cles et partit chez lui, encore endormi