Cuisine

Ici, c'est la cuisine...

Jeudi 20h

Maëva entra dans sa cuisine. Elle se prépara un sandwich et le mangea. Puis elle décida d'aller regarder les infos.

Salon

Maëva attrapa son huile.

Thomas la regardait de haut en bas.

*Thomas arrête de faire ça, enlève tes yeux de là !*

Maëva lui tendit. Thomas l'attrapa et leurs mains se frôlèrent.

Il eut comme de l'éectricité dans l'air et Thomas sentit un frisonn le parcourir.. Il déglutissit difficilement.

"Merci..."

Il la regardait dans les yeux.

- De rien.

Maëva tenta tant bien que mal de se détacher de son regard.

Thomas avait de plus en plus chaud et si son cerveau lui disait de partir son coeur ne l'écoutait pas.

"Maéva je..."

- Oui ?

"J'ai terriblement envie de vous embrasser..."

Sa voix n'était qu'un murmure.

Maëva était un peu surprise par cet aveu inattendu. Mais inconsciemment elle se rapprocha de lui.

Maëva...
- Quoi ?
- Eloignes toi de suite de ce jeune homme !

Maëva essaya de reprendre ses esprits.

- Il... faudrait peut-être que vous alliez préparer ce que vous vouliez préparer avec mon huile.

"A vrai dire je..."

*Elle a raison Thomas tu dois aller faire ta salade !!! Et allait prendre une douche froide par la même occasion...*

"Vous avez probablement raison..."

Maëva le regardait toujours.

- Mais vous savez... Vous pouvez rester un peu si vous voulez.

Maëva...
- La ferme !

La bretelle de sa nuisette tomba sur son épaule.

C'en fut trop pour Thomas qui sentit son coeur piquer un sprint. Malgré tout il se força à calmer ses ardeurs et à être doux. Il s'appricha d'elle et l'enlaça.

"Ca tombe bien parce que je n'avais pas très envie de partir..."

Tu m'étonnes !

Maëva se laissa faire et sourit.

- J'ai de la chance alors...

Thomas lui sourit à son tour puis il se pencha vers elle et l'embrassa tendrement.

Le coeur de la jeune femme battait à tout rompre. Elle répondit à son baiser.

Maëva se sentait réellement bien. Mais elle ne pouvait s'aventurer sur cette voie dangeureuse.

- Vous feriez mieux de rentrer. Vous devez avoir du travail pour demain.

"Vous ne voulez pas que je reste ?"

- Je ne sais pas si c'est bien ce qu'on est entrain de faire...

"Pourquoi ce serait mal ?"

- Disons que les aventures d'une nuit j'ai déja donné.