Mardi fin de matinée.Chambre de Tony

Bureaux du FBI

Veruka était frustré parce ce qui arrivait.Elle pensai que Tony irai mieux.
Elle frappa à la porte et entra.

"Bonjour toi!"

"Bonjour."

Le ton de Tony était glaçial.

Ok ça commence bien.

Elle s'avança vers le lit.Elle était embarrassée.

"Tu te sens comment aujourd'hui?"

Elle s'approcha du sac qu'elle avait apportée et regarda les photos.Elle s'apprétait à sortir un des albums.

Tony l'arrêta.

"C'est pas la peine."

Elle rangea l'album.
"Tu te souviens de quelque chose?"

"Oui."

Il la fixa.

"Tu en as profité."

Veruka avança vers la fenètre et se tourna vers lui.

"J'en ai profité c'est vrai.Excuse moi d'etre amoureuse de toi et d'avoir espérer que je pourrai t'apporter quelque chose et qu'on aurai une chance de recommencer."

Tony laissa échapper un soupir.

"Oh je t'en prie, commence pas."

Puis il la regarda.

"J'ai peut être failli mourir, mais je n'ai pas changé d'avis. Et ne prends pas un ton mielleux sous prétexte que tu m'as raté. Je te pensais meilleure tireuse que ça."

Veruka tomba des nues.
"De quoi tu parles?Je ne comprends pas.Tu pense que c'est moi qui ai tiré sur toi?"

Mais qu'est-ce qui ont tous avec ça?

"Non j'en suis certain."

"Qu'est-ce qui te fait croire que j'aurai pu tirer sur toi?"

"Je venais de te quitter, tu as quasiment braqué une arme. Ca me semble relativement suffisant."

Veruka rit jaune.

"Tony meme si j'étais très en colère contre toi je ne t'aurai jamais tirer dessus.Je tiens trop à mon job pour risquer ma place.Et si je t'avai réellement tirer dessus je ne t'aurai pas louper."

Elle se mit dos à Tony.
"De toute façon quand tu t'es fait tirer dessus j'étais au boulot.Et ce boulot est en train de me tuer."

Veruka donna un coup de poing dans le mur à coté de la fenètre.

"Ton travail..."

Tony sourit tristement.

"Si tu ne m'as pas tiré dessus pour simplement garder ton job, je me demande ce que tu fiches encore ici. Peut être le remord mais surement pas tes 'sentiments' pour moi."

"Tu ne comprend vraiment rien."

Elle lui fit face.
"Mon travail est tout ce qui me reste;restai...Je me suis investi dans mon boulot toute ces années parce que je n'avais rien d'autre.Ma vie est sociale est rattaché à mon boulot quand à ma vie amoureuse..."

Elle sourit.
"Lié à mon boulot également.Et puis tu es arrivé.Tu as boulversé ma vie et ensuite tu me jettes."

Elle redevint placide.
"Alors dis moi qui était pris de remord à ce moment là.Si tu ne voulai pas de moi,tu n'aurai pas du venir me chercher.Je n'avais rien demandé."

"Et tu ne comprends pas plus que moi. Je t'ai expliqué les raisons pour lesquelles je préférais m'en aller. Mais tu veux peut être que je reste avec toi, que j'essaye de faire semblant d'être bien alors que ce n'est pas le cas?"

Elle soupira.

"Je ne te demandes pas de retourné avec moi.Mais ne m'en veut pas d'avoir essayé de recommencer quelque chose.Tu ne te souvenait de rien et j'ai espérer.T'inquiètes pas je ne te courai plus après.J'ai d'autre souci en ce moment."

Elle s'approcha de lui.

"Je ne t'ai pas tirer dessus.Ce n'est pas mon genre.Mais je suis soupsonné de l'avoir fait.
D'un certain coté c'est plus prudent pour toi que je sois loin.Je pense qu'on t'as tiré dessus pour m'atteindre."

"Alors que ça ne fait qu'une semaine? Tu me prends vraiment pour un idiot."

"Ce n'est pas moi qui est tiré.Ni qui ai organisé cela.Après tu crois ce que tu veux."

Elle se mit sur le coté du lit.

"Je n'ai pas besoin de te prouver quoi que ce soit."

Elle sourit.
"C'est incroyable.Mon patron et mes collègues croient plus en mon innocence que toi.Et pourtant ils m'ont connu très violente sur certaines affaires."

Elle recula.
"Je laisse tomber.Je suppose que tu as déjà trouver quelqu'un d'autres pour jouer les infirmières.Gina par exemple?Je suis sur qu'elle s'occupera très bien de toi."

Tony la regarda.

"Qu'est ce qu'elle vient faire là dedans?"

Il secoua la tête.

"Tu croyais pouvoir diriger ma vie? Tu veux te venger pour quand on était jeunes?"

Elle étouffa un rire.

"Me venger pour quand on était jeune?Je te signale que c'est moi qui ai décidé de tout arréter.Et puis je n'ai rien à te reprocher.Tu m'as empécher d'aller en taule.On a fait des conneries mais on était jeune.J'étais paumé et toi aussi.Le pssé c'est le passé Tony.Arrète de le remettre sans arret sur le tapis."

Elle fit les cent pas.
"Diriger ta vie ne m'interresse pas.Quand on est un couple il n'y en a pas un qui controle l'autre.Tu ne me connais vraiment en fait."

"Oui, j'en ai bien l'impression."

"Je crois en effet.Je vais te laisser.Si tu as besoin,tu as toujours mon numéro."

Elle se dirigea vers la sortie.
"J'espère que ta vie sera mieux que ce qu'elle n'a été jusqu'à présent."

Central Park

Tony se cala dans le lit, pensif. Il en avait assez d'être couché.